Dans cette étude post-hoc, des
chercheurs ont évalué la fréquence de l’atteinte phalangienne distale du
rhumatisme psoriasique et du psoriasis unguéal. Puis, ils ont comparé
l’efficacité de l’ixékizumab (anti-IL-17) et de l’adalimumab (anti-TNA-alpha).
Au total, 354 patients présentaient une atteinte simultanée des ongles et de
l’articulation interphalangienne distale. Presque tous les patients présentant
une atteinte de l’articulation interphalangienne distale présentaient un
psoriasis unguéal sur les ongles adjacents. Avec les deux traitements, la
résolution complète était significativement plus élevée avec l’ixékizumab
qu’avec l’adalimumab dès la semaine 12 de traitement. Cet effet se maintenait
jusqu’à la semaine 52. Cibler l’IL-17 serait ainsi plus pertinent que cibler le
TNF-alpha dans ce contexte.
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