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L’activité physique intense améliore les fonctions motrices des patients atteints d’un stade précoce de la maladie de Parkinson, mais par quels mécanismes ? Sur des modèles de rats, les chercheurs ont étudié l’impact de l’activité physique intense sur la structure et le fonctionnement des neurones, face au développement des agrégats d’alpha-synucléine. L’activité physique intense semble agir sur les altérations plastiques précoces induites par les agrégats sur les neurones. De plus, il réduirait la propagation des fibrilles d’alpha-synucléine à d’autres zones cérébrales vulnérables et encore non touchées par la maladie. L’entraînement intensif permet une amélioration du contrôle des fonctions motrices et un renforcement de l’apprentissage visuo-spatial.

Source(s) :
Gioia Marino et al. Intensive exercise ameliorates motor and cognitive symptoms in experimental Parkinson's disease restoring striatal synaptic plasticity. Sci Adv. 2023 Jul 14;9(28):eadh1403. ;

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