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Le modèle murin de la sclérose en plaques, l’encéphalomyélite auto-immune expérimentale, est utilisé par les chercheurs pour mieux comprendre les mécanismes immunologiques sous-jacents et ainsi identifier de nouvelles cibles thérapeutiques potentielles. En effet, les thérapies actuelles permettent de réduire les symptômes, mais s’accompagnent d’effets secondaires, parfois majeurs. Dans cette étude, les chercheurs ont examiné le rôle de CRL4b dans le développement des lymphocytes T et de l’encéphalomyélite auto-immune expérimentale. Les souris dépourvues de CRL4b dans les lymphocytes T présentaient des symptômes réduits de la maladie auto-immune et une diminution du pic d’inflammation. Le traitement des souris avec des inhibiteurs de CRL4b permettait un meilleur contrôle des mécanismes immunologiques et de la maladie.

Source(s) :
Asif A Dar et al. CRL4b Inhibition Ameliorates Experimental Autoimmune Encephalomyelitis Progression. J Immunol. 2024 Jan 24:ji2300754. ;

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