Dans cette étude, des chercheurs
ont combiné l’histopathologie assistée par l’intelligence artificielle (IA) et
l’imagerie par cytométrie de masse pour analyser l’écosystème du cancer du
poumon non à petites cellules. L’approche basée sur l’IA a été appliquée sur
158 échantillons de cancer du poumon non à petites cellules pour identifier
avec précision les cellules tumorales (cellules d’adénocarcinome et cellules de
carcinome épidermoïde) et les classer selon leur regroupement spatial. Des
coupes de tissus immunomarquées ont permis de quantifier 24 marqueurs liés aux
cellules tumorales, à l’architecture tissulaire, aux cellules myéloïdes et
lymphoïdes CD45+ et à l’activation immunitaire. Les analyses ont montré que les
lymphocytes T étaient préférentiellement localisés dans les zones
péri-tumorales ou dans les nids tumoraux, avec une influence sur le pronostic.
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