Dans cette étude, les chercheurs
ont évalué le bénéfice à long terme de la thérapie familiale sur le score z de
l’IMC des adolescents atteints d’obésité. Cette étude prospective a été menée
sur 131 adolescents, ayant participé à des séances de thérapie familiale.
Quatre ans plus tard, leur poids et leur taille étaient mesurés et les
adolescents étaient interrogés sur leur mode de vie. 57 % des adolescents ont
accepté de participer à l’étude. 52,6 % des adolescents ont montré une
évolution favorable de leur poids, avec une stabilisation ou une diminution du
poids. 32 % d’entre eux pratiquaient quotidiennement une activité physique et
40,6 % surveillaient leur poids au moins une fois par semaine. En revanche, seulement
45,9 % des adolescents continuaient à bénéficier d’un suivi médical de gestion
du poids corporel, alors que 67 % avaient encore un IMC supérieur ou égal à 30.
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