Précédent Suivant
Une étude rétrospective des données de 89 573 adultes, d’âge moyen 62 ans, a comparé trois modes de pratique d’activité physique, l’inactivité (moins de 150 minutes d’activité physique modérée à intense par semaine), l’activité régulière (plus de 150 minutes réparties sur la semaine) et l’activité concentrée sur le week-end (plus de 150 minutes dont la moitié effectuée sur 1 à 2 jours) pour leurs effets respectifs sur la santé cardiovasculaire. La santé cardiovasculaire était évaluée par la survenue d’événements cardiovasculaires (fibrillation auriculaire, infarctus du myocarde, insuffisance cardiaque et accidents vasculaires cérébraux). Les données collectées suggèrent que l’activité physique concentrée sur 1 à 2 jours était associée à un risque plus faible d’événements cardiovasculaires qu’une activité uniformément répartie sur la semaine.

Source(s) :
Shaan Khurshid et al. Accelerometer-Derived "Weekend Warrior" Physical Activity and Incident Cardiovascular Disease. JAMA. 2023 Jul 18;330(3):247-252. ;

Dernières revues


Pneumonie infantile : Vers de nouvelles stratégies thérapeutiques ?

La pneumonie infantile constitue une préoccupation majeure de santé publiq...

Nouvelle thérapie combinée contre la pneumonie à Mycoplasma chez l’enfant

La pneumonie à Mycoplasma pneumoniae (MPP) est une infection...

Cancer du sein : l’impact prometteur des thérapies combinées

Le cancer du sein est l'une des principales causes de décès chez les femme...