Trois équipes de
chercheurs français ont publié dans la revue Proceedings of the National
Academy of Sciences (PNAS) les résultats de leur recherche sur un nouveau
peptide antibactérien,
la ruminoccocine
C1 ou RumC1. D’où vient-il ?
D’une bactérie présente dans notre flore intestinale. Les chercheurs l’ont synthétisé et testé sur des souches bactériennes multirésistantes.
Celui-ci s’est montré efficace in vitro, même à faible dose, dans des conditions similaires à celles de l’intestin, et sans entrainer de développement de nouvelles résistances de la part des bactéries.
En plus d’être efficace, il n’a pas montré de toxicité sur des lignées cellulaire humaines ni sur des tissus intestinaux humains. Sa production à grande échelle semble également possible grâce à sa résistance à de nombreux traitements physico-chimiques. Les chercheurs s’intéressent maintenant à comprendre son mécanisme d’action.
D’une bactérie présente dans notre flore intestinale. Les chercheurs l’ont synthétisé et testé sur des souches bactériennes multirésistantes.
Celui-ci s’est montré efficace in vitro, même à faible dose, dans des conditions similaires à celles de l’intestin, et sans entrainer de développement de nouvelles résistances de la part des bactéries.
En plus d’être efficace, il n’a pas montré de toxicité sur des lignées cellulaire humaines ni sur des tissus intestinaux humains. Sa production à grande échelle semble également possible grâce à sa résistance à de nombreux traitements physico-chimiques. Les chercheurs s’intéressent maintenant à comprendre son mécanisme d’action.
Source(s) :
Article Les Echos – Article publié le 8 septembre ;
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