Les études précliniques suggèrent
que les microplastiques et les nanoplastiques pourraient être un facteur de
risque de maladies cardiovasculaires. Dans cette étude observationnelle
prospective multicentrique, des chercheurs ont analysé les données de 257
patients, atteints d’une coronaropathie, suivis sur une durée moyenne de 33,7
mois. Du polyéthylène a été détecté dans la plaque de l’artère carotide chez 150 patients. 31 patients présentaient
également des quantités mesurables de chlorure de polyvinyle. Les patients pour
lesquels des traces de microplastiques ont été détectées dans les plaques
d’athérome avaient un risque plus élevé d’infarctus du myocarde, d’AVC ou de
mortalité toutes causes confondues au cours de la durée du suivi.
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