Des études ont
suggéré des liens de causalité bidirectionnels entre les troubles du sommeil et
les troubles psychiatriques. Restent à élucider les mécanismes sous-jacents.
Des études ont également montré des modifications structurelles dans le cerveau
des personnes atteintes de troubles du sommeil. Dans cette étude, les analyses
révèlent que l’insomnie serait positivement associée à la surface du cortex
orbitofrontal médian. Inversement, une surface corticale globale plus élevée
protégeait les individus contre des durées de sommeil plus courtes et
l’insomnie. Une surface supérieure du cortex cingulaire postérieur exposait en
revanche à des durées de sommeil plus courtes. Mieux comprendre les mécanismes
reliant les troubles du sommeil et les troubles neuropsychiatriques pourrait
permettre de développer de nouvelles stratégies de prévention face à ces
maladies.
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