L’arrivée de
l’immunothérapie a permis d’améliorer la survie des patientes atteintes d’un
cancer du sein avec mutations des gènes BRCA, mais certains facteurs peuvent en
limiter l’efficacité. Des chercheurs ont ici analysé les changements dans
l’expression de LGALS2 (le gène qui code pour la galectine-2), qui parait être
étroitement lié à l’efficacité de l’immunothérapie. L’expression de LGALS2
apparaissait associée à l’infiltration immunitaire, à la résistance aux
traitements et à d’autres caractéristiques des gènes BRCA. De plus, les
chercheurs ont constaté qu’une expression élevée de LGALS2 était étroitement
associée à la réponse à l’immunothérapie, à des modifications de la méthylation
de l’ADN et à une résistance clinique aux traitements.
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