Dans cette étude rétrospective
menée sur 312 patients atteints d’un cancer gastrique, des chercheurs ont
développé et testé une technique basée sur l’apprentissage profond pour évaluer
le risque de malnutrition avant la chirurgie. Etaient pris en compte les
facteurs cliniques et les caractéristiques du muscle psoas au niveau de la
troisième vertèbre lombaire. Les analyses ont montré que l’IMC, les lymphocytes
et l’albumine étaient cliniquement indépendants du risque de malnutrition. Le
modèle développé par les chercheurs s’est avéré pertinent pour évaluer le
risque de malnutrition avant la chirurgie dans le cancer gastrique. Il
permettait de stratifier les patients d’un faible risque à un risque élevé. La
durée de survie globale se montrait inférieure dans le groupe à haut risque par
rapport au groupe à faible risque.
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